Côte d’Ivoire: le PDCI va désigner Tidjane Thiam candidat à la présidentielle

Le président du PDCI, Tidjane Thiam, ici le 20 mars 2025 à Costa Navarino, en Grèce, dans le cadre de son statut de membre du Comité international olympique.
© AFP – FABRICE COFFRINI
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) organise, ce mercredi 16 avril, une convention pour désigner son candidat à la présidentielle du 25 octobre 2025. Principal et unique challenger : Tidjane Thiam, le président du parti, qui est actuellement hors du pays.
Près de 6 000 militants du PDCI sont appelés à voter. Les secrétaires généraux de section, des membres du bureau politique et des vice-présidents sont prévus pour cette convention. Le critère : être à jour de ses cotisations de 2023. Le scrutin va se dérouler dans 45 sites répartis dans chaque chef-lieu de région. Six sites sont, par ailleurs, prévus pour la diaspora. Le vote doit durer six heures.
Sur le fond, il y a peu de surprise à attendre, puisque le Congrès extraordinaire de décembre 2023 et le dernier bureau politique ont adopté une motion désignant Tidjane Thiam comme candidat du parti. Seule incertitude : la participation. « Notre adversaire, c’est l’abstention : il faut que le taux de participation soit élevé », affirme l’un des organisateurs. « Il y a le risque d’assister à un genre de plébiscite », estime un observateur de la vie politique en Côte d’Ivoire.
Près de 6 000 militants du PDCI sont appelés à voter. Les secrétaires généraux de section, des membres du bureau politique et des vice-présidents sont prévus pour cette convention. Le critère : être à jour de ses cotisations de 2023. Le scrutin va se dérouler dans 45 sites répartis dans chaque chef-lieu de région. Six sites sont, par ailleurs, prévus pour la diaspora. Le vote doit durer six heures.
Sur le fond, il y a peu de surprise à attendre, puisque le Congrès extraordinaire de décembre 2023 et le dernier bureau politique ont adopté une motion désignant Tidjane Thiam comme candidat du parti. Seule incertitude : la participation. « Notre adversaire, c’est l’abstention : il faut que le taux de participation soit élevé », affirme l’un des organisateurs. « Il y a le risque d’assister à un genre de plébiscite », estime un observateur de la vie politique en Côte d’Ivoire.
Bineta Diagne,correspondante à Abidjan de RFI.